TÉLÉVISION ET RADIODIFFUSION - La télévision , les nouveaux enjeux

TÉLÉVISION ET RADIODIFFUSION - La télévision , les nouveaux enjeux
TÉLÉVISION ET RADIODIFFUSION - La télévision , les nouveaux enjeux

Les images, demain, circuleront aussi aisément que la parole et l’imprimé, d’un continent à un autre, ou à l’intérieur des aires géographiques ou des collectivités les plus restreintes. D’un même mouvement, la télévision est précipitée vers l’infiniment petit et vers l’infiniment grand: entre l’immeuble comprenant quelques appartements et la planète tout entière. Quelles possibilités les techniques, prolongeant et démultipliant la télévision, offrent-elles à chacun de nous, qu’il veuille exprimer sa pensée ou accéder à l’expression de la pensée d’autrui? Et quel sort la télévision de demain réserve-t-elle au commerce des idées, à la libre communication entre les hommes «de leurs pensées et de leurs opinions»? À leur liberté de créer des œuvres, avec des images animées et sonorisées, et de les rendre «publiques», au sens de la grande loi française de 1881 sur la liberté de la presse?

La triple évolution des techniques

Ce qui marque l’évolution récente, en premier lieu, c’est sans nul doute, au moins au sein des démocraties les plus riches, l’abondance toujours accrue des médias disponibles. Non seulement leur nombre s’accroît, d’année en année, mais également leur diversité. Le livre et le journal ne sont déjà plus, depuis longtemps, les seuls médias «autonomes»: avec le vidéogramme, le magnétoscope et le lecteur de disques vidéo, les images animées et sonorisées sont désormais accessibles, de la même façon, pour chacun, que les documents imprimés. Les moyens de diffusion proprement dits, c’est-à-dire à sens unique, d’un émetteur vers une multitude de récepteurs sont aujourd’hui précipités, dans la voie ouverte par Marconi en 1896, vers les deux infinis, grâce aux câbles et aux satellites, entre les collectivités les plus restreintes et la planète tout entière – entre le narrow et le broad-casting –, et les moyens acheminent non plus seulement des sons, mais également des images, des graphiques, des textes ou des données. Diversification et multiplication des techniques, également, dans l’univers de la communication à double sens, celui qui fut inauguré par le téléphone de Graham Bell, en 1876. Grâce au mariage inattendu entre le téléphone, le téléviseur et l’ordinateur, s’ajoute en effet à la possibilité d’une conversation à distance entre deux personnes le commerce, entre plusieurs personnes éloignées de milliers de kilomètres, de toutes sortes de textes, de données ou d’images, fixes ou animées, qu’elles soient ou non sonorisées, commerce dont on ne pouvait encore imaginer l’expansion au tournant des années 1980.

Deuxième trait marquant, souligné par la seule considération des virtualités de la technique: l’accès aux réseaux sur commande individuelle. Jusqu’à une époque récente, les demandeurs de programmes ou de services transmis par les réseaux étaient prisonniers des grilles établies par les diffuseurs: seuls étaient disponibles en permanence les messages gravés sur des supports autonomes, comme le sont les livres, les disques ou les vidéocassettes. Désormais, les dispositifs existent, qui permettent à chacun d’accéder, sur simple demande, à toutes sortes de prestations acheminées grâce aux réseaux, par la voie des ondes hertziennes ou par celle des câbles et de leurs liaisons éventuelles avec des satellites. Ainsi, la vidéographie, sous chacune de ses deux versions, le télétexte diffusé ou le vidéotex interactif, est accessible à chacun en permanence, à l’égal de n’importe quel journal ou de n’importe quelle cassette préenregistrée.

En troisième lieu, l’évolution des techniques de communication, longtemps étrangères les unes aux autres, est marquée par leur convergence progressive. Chaque média, depuis sa naissance, avait constitué un univers singulier, avec ses équipements et ses professionnels, ses ordonnancements et ses missions: la presse, les télécommunications et le cinéma en salles, la radio et la télévision, enfin la téléinformatique et sa nébuleuse de services. Dans un premier temps, c’est seulement le rapprochement d’une technique avec une autre qui apportait des perfectionnements plus ou moins avantageux: ainsi, de la radio avec le magnétophone, en 1944, de la télévision avec le magnétoscope, en 1952, ou avec le satellite en 1964, et du vidéodisque avec l’informatique, en 1978. Ce fut ensuite l’association de deux technologies différentes qui donnait parfois naissance à un média nouveau: le téléphone et l’informatique faisaient naître la téléinformatique, dès 1964; la diffusion hertzienne et l’ordinateur, en 1979, le télétexte Antiope; l’informatique et les télécommunications, en 1984, le vidéotex interactif. Désormais, les développements simultanés de l’informatique et des télécommunications permettent d’envisager la transmission de tous les signaux par un réseau unique, grâce à leur numérisation, transmission s’opérant à sens unique ou dans les deux sens. Le réseau numérique à intégration de service – R.N.I.S. – figure déjà ce réseau de l’avenir où seront abolies les frontières qui subsistent aujourd’hui entre la télédiffusion, la télédistribution et la télécommunication ou bien, si l’on préfère, entre la radiodiffusion hertzienne, la radio-télévision par cables et les voies matérialisées ou immatérielles du téléphone.

Un double affranchissement

La multiplication des équipements, les nouveaux dispositifs d’accès à la demande, les suppressions de frontières entre certains médias: quelle signification peut revêtir, pour chacun, cette triple évolution des techniques? Quelles sont, en d’autres termes, ses implications les plus prévisibles pour chacun des représentants de la société qui en fait l’expérience? Sur les conditions de ses échanges de messages avec les autres, et sur le sens qu’il leur prête? Sur la perception qu’il a de sa place dans les différents univers sociaux où il se trouve, de gré ou de force?

L’évolution des techniques de communication est interprétée par chacun, dans un premier temps, comme un double affranchissement: vis-à-vis, d’un côté, de la pauvreté des échanges avec ses semblables et, de l’autre, vis-à-vis des servitudes multiples de la distance, dans le temps et dans l’espace. Affranchissement, d’abord, à l’égard de la pauvreté. L’abondance des opinions, des informations ou des œuvres qui sont mises en circulation et mises en commun par les médias est devenue simultanément une réalité et un idéal. Les hommes, grâce aux techniques, «communiquent» toujours davantage les uns avec les autres. Et chaque jour ils sont un peu plus nombreux que la veille à considérer cette possibilité de communiquer comme le privilège majeur de leur époque. Ainsi, la «communication» est inséparablement un loisir et un désir, une possibilité dont il serait non seulement dommage mais également préjudiciable de se priver: la condition de tous les progrès, jusques et y compris ceux des libertés, pour tous et pour chacun.

Affranchissement, ensuite, à l’égard d’une autre fatalité, celle de la distance. Grâce aux techniques de l’enregistrement, combinées ou non avec les réseaux de transmission, le temps et l’espace constituent de moins en moins un obstacle au commerce des idées, à la communication des hommes, par le truchement des expressions multiples de leur pensée. Ainsi, les médias offrent la possibilité de transgresser toujours plus aisément et plus efficacement cette loi intransgressable selon laquelle les hommes, naturellement, s’intéressent d’autant plus aux choses, aux autres ou aux événements, que ceux-ci leur sont proches, en tous les sens du terme. Grâce aux miracles de la technique, le nombre de transactions entre les hommes ne varie plus en raison inverse de la distance qui les sépare. Indifférente désormais aux fatalités de l’éloignement, la télécommunication, facile et efficace, plus diverse et moins onéreuse que jamais, ne garantit pas seulement une télé-présence: elle devient aussi un instrument de télé-action, à travers des services «interactifs» comme le télé-achat ou la télé-réservation.

La technique ambivalente

La technique, pourtant, est ambivalente: elle asservit en même temps qu’elle libère. À l’instant où les médias semblent triompher de certaines servitudes, ils s’exposent à des fatalités inattendues, renvoyant chacun à lui-même, aux confins d’une liberté joyeusement et presque imprudemment conquise. Non parce que les choix individuels, parfois, sont illusoires, entre des œuvres apparemment différentes et en réalité semblables ou équivalentes. Ou qu’ils ne seraient libres, ces choix, qu’aux yeux de leurs auteurs. Mais, plus profondément, parce qu’ils risquent d’être toujours commandés par l’absence d’imagination, plus encore que par le manque de temps ou d’argent. Avec qui «communiquer» quand on peut communiquer avec tout le monde? Quoi regarder quand on peut tout regarder? Quoi enregistrer et conserver quand on peut tout enregistrer? De la liberté, les techniques de communication offrent seulement l’illusion, lorsqu’elles en dissimulent, derrière leurs promesses, les inévitables limites, celles de la force des choses ou bien celles de la volonté des hommes. L’abondance est alors une vraie pauvreté, misérable et tragique.

Selon une ironie semblable, la victoire sur l’éloignement peut signifier, le cas échéant, une défaite pour la communication. La télécommunication est tout entière marquée du sceau de l’ambivalence: à la fois libératrice et oppressive. Depuis le premier télégraphe électrique, en 1837, les hommes de la civilisation de Prométhée n’ont pas cessé de poursuivre, inlassablement, la réalisation d’un rêve immémorial d’ubiquité: avant l’essor récent des nouveaux médias, l’histoire du téléphone et de la radio-télévision en est l’illustration. Aujourd’hui, ce ne sont plus seulement des paroles que l’on peut transmettre à distance, mais aussi des images, des données statistiques et des ordres; «The closest thing to being there: the closest way to being there»: la publicité pour les téléphones américains illustre admirablement les vertus d’un monde où chacun peut agir à distance et se trouver partout en même temps. Mais elle ne dit rien des écueils souvent comparables de l’action et de la présence à distance.

Le télé-travail est présenté comme une commodité; son efficacité n’en est pas moins limitée, immanquablement, par l’impossibilité des échanges personnels, et le sentiment qu’elle inspire à chacun de vivre dans une sorte d’«info-bulle» est très diversement apprécié. La télé-présence se heurte aux mêmes limites et elle expose à des dangers analogues: le téléphone et le visiophone n’offrent pas seulement l’illusion de triompher de l’indépassable «loin des yeux, loin du cœur»: ils constituent aussi un succédané commode pour échapper au face-à-face avec les autres, voire la compensation plus ou moins heureuse pour des rencontres dont on redoute l’échec ou l’absence. Enfin, nous sommes d’autant plus sensibles, sans nul doute, aux distances psychologiques ou sociales, que les techniques nous rapprochent de tous ceux que le temps ou l’espace éloigne de nous. L’évaluation, par chacun, de la distance qui le sépare d’autrui ne fait-elle pas songer, souvent, à un jeu à sommes nulles? Il y a toujours un proche et un lointain: simplement, l’échelle qui mesure les distances n’est pas toujours la même.

Tel est bien le paradoxe des médias: ils renvoient l’homme à lui-même, tandis qu’ils ouvrent l’accès, à distance, aux paroles des autres, à leurs actes ou à leurs œuvres. Parce que la télécommunication, plus facile et plus diverse que jamais, a fait naître l’utopie de la connaissance pour tous et de la communication de chacun avec tous. Et que le rêve d’une communication universelle et libératrice nourrit, dans la même proportion, la hantise du savoir inutile et des échanges manqués avec les autres.

Le double penchant

Reste la question: pour l’ordre social, quelles sont les implications de ce paradoxe? Dans quelle mesure, la façon dont chacun, déçu ou émerveillé, se sert des machines à communiquer, affecte-t-elle l’organisation de la société, les enjeux et les modalités de l’insertion de ses membres dans les groupes qui la composent? Comment, en d’autres termes, chacun est-il «relié» à ceux avec lesquels il vit ou travaille, avec lesquels il pense ou se divertit? Et quelle signification prête-t-il à ses différents «liens» avec la société?

Un premier constat s’impose, pour peu que l’on considère à la fois les possibilités des techniques et les utilisations qui en sont faites: c’est le progrès spectaculaire de la télécommunication, à double sens, comparé à celui de la télédiffusion, à sens unique. Les «tuyaux» prennent de l’avance, depuis quelques années, sur les «arrosoirs». À moins qu’ils ne rattrapent le temps perdu. Dans la brèche ouverte par le téléphone et l’ordinateur, la carrière des échanges de données ou d’images, à double sens, s’annonce particulièrement glorieuse, grâce à la vidéocommunication et à la téléinformatique. Et les progrès sont beaucoup plus lents, du côté des médias de diffusion à sens unique, ceux qui suggèrent le rapprochement avec la pomme plus ou moins large d’un arrosoir, qu’il s’agisse des réseaux locaux de télédistribution ou de la télévision directe ou semi-directe. D’où cette faveur accordée aux échanges, confraternels ou associatifs, ou même à la propagation de causes ou d’identités particulières, plutôt qu’aux activités relevant de la «publication» proprement dite. Comme si les communications horizontales, à double sens, prenaient soudain leur revanche sur les communications verticales, venues des sommets de l’édifice social. Comme si le nouvel essor de la télécommunication, sous toutes ses formes, constituait la réponse compensatoire, longtemps attendue, à la tyrannie des mass media, instruments privilégiés des activités de publication.

Second constat, aussi peu suspect que le premier de céder au déterminisme cher à McLuhan, à cette idée naïve de quelques ingénieurs concernant l’effet inévitablement «structurant» des techniques sur l’organisation sociale: l’avantage que les médias les plus récents accordent, pour chacun, aux liens sociaux choisis plutôt que subis. Il est vrai que certaines techniques qui se sont développées ces dernières années – la micro-édition, c’est-à-dire l’édition de livres ou de journaux à faible tirage, les possibilités individuelles d’enregistrer du son ou de l’image, les vidéocassettes et les vidéodisques préenregistrés, la téléinformatique domestique, les accès à la demande du télétexte et de la radio-télévision codée, ou bien ces «arrosoirs» à pomme étroite, comme les radios F.M., la télédistribution ou la télévision à faible puissance – favorisent la constitution de groupes nombreux, peu étendus chacun, fondés exclusivement sur une convergence d’intérêts, de préoccupations ou d’objectifs librement choisis.

Le prix de la croissance, pour tous les médias, réside dans leur diversification ou leur spécialisation, par les sujets qu’ils abordent ou les audiences auxquelles ils se consacrent. En même temps qu’elle rend possible cette évolution vers les «micro-médias», la technique offre à chacun la possibilité de choisir ses affiliations ou ses allégeances sociales, ses appartenances objectives et ses références subjectives. Ainsi, l’échange associatif prend progressivement le pas sur l’échange confraternel, la propagation des causes sociales sur celle des identités sociales, et, parmi celles-ci, les identités voulues sont favorisées par rapport à celles qui sont subies. Ce n’est pas la victoire, trop vite annoncée, des médias spécialisés sur les médias de masse, mais le résultat d’une abondance que les uns et les autres proposent simultanément: la possibilité, pour chacun, de préférer le club à la corporation, l’association volontaire à la confrérie imposée, les réseaux informels aux organisations formelles, l’affiliation à des groupes choisis par lui, plutôt que la subordination à des groupes qu’il subit, d’un cœur léger ou de mauvaise grâce.

Ainsi, l’ordre de toute société riche en médias suit désormais cette double inclination, sous l’effet conjugué des techniques et des utopies qu’elles inspirent: d’un côté, la préférence donnée à la télécommunication plutôt qu’à la télédiffusion; de l’autre, la possibilité plus généreusement offerte à chacun de choisir de nouvelles attaches sociales, différentes de celles qu’il doit subir. Double inclination, ou plutôt possibilités supplémentaires offertes aux gens de s’exprimer ou d’accéder à la parole et aux œuvres des autres. Entre les médias, en effet, le nouveau ne remplace pas l’ancien, il lui ouvre au contraire la voie, de façon inespérée, à une carrière plus brillante. Loin de conduire à des évictions définitives, la compétition entre les moyens de communiquer équivaut à une émulation réciproque, à des alliances ou des superpositions à la fois fortuites et pleines de promesses: entre le monde de Gutenberg et celui de Marconi, entre le cinéma en salles et les cassettes préenregistrées, ou bien encore entre la télévision du premier âge, par émetteurs et relais hertziens, et la télévision d’aujourd’hui et de demain, semi-directe ou directe. La loi, en l’occurrence, est celle du tout ou rien, de l’abondance ou de la pauvreté, pour chacun. Et pour tous, l’alternative est celle du surdéveloppement et du sous-développement du commerce des idées.

Demain: village global ou goulag électronique

Les anciens médias démultipliés par les nouveaux venus, l’humanité précipitée d’un même mouvement vers l’infiniment grand et l’infiniment petit, l’abolition des frontières entre les médias, anciens et nouveaux confondus: ces évolutions simultanées inspirent en alternance les craintes les plus pathétiques et les espérances les plus extravagantes. Les uns y voient l’annonce de la communication universelle, le jour où n’importe qui pourra enfin accéder à n’importe qui ou à n’importe quoi, n’importe quand, de n’importe où, et n’importe comment: l’avènement du «village global» de McLuhan, la fraternité grâce à l’électronique, l’humanité réconciliée avec elle-même par la multiplication des machines à communiquer. Les autres, à l’inverse, considèrent que la prolifération des médias annonce, comme la nuée l’orage, la fin de la vie privée et de la liberté individuelle: le goulag électronique, l’absolue transparence de la société ou la possibilité techniquement illimitée pour quelques-uns de surveiller et d’assujettir la multitude.

La société de demain, en réalité, ne sera issue ni de la lutte entre les classes ou les nations, ni de celle entre les espèces technologiques, comme McLuhan le pensait. Elle sera à l’image des réseaux de l’interaction sociale, gage de la multiplication des échanges entre les hommes et entre les cultures.

Encyclopédie Universelle. 2012.

Игры ⚽ Нужно решить контрольную?

Regardez d'autres dictionnaires:

  • Culture de masse — La culture de masse désigne une forme de culture liée à la société contemporaine ; elle est souvent associée à une société de consommation où une grande part des rapports entre les hommes sont fondés sur ou régis par des processus… …   Wikipédia en Français

  • Sport en France — France Comité olympique CNOSF Clubs 167 678 (2007) [1] …   Wikipédia en Français

  • Culture De Masse — Culture types de cultures culture légitime culture de masse culture populaire contreculture Sous culture …   Wikipédia en Français

  • Guerre d'Algérie — De gauche à droite, 1er rang : colonne de l ALN ; patrouille de M8 Greyhound de l Armée française ; Pieds Noirs du Constantinois s organisant en groupes d autodéfense. 2e rang : discours de …   Wikipédia en Français

  • Histoire du Tour de France — Le Tour de France est créé en 1903 par le journal L Auto, dirigé par Henri Desgrange, afin d affaiblir le journal sportif concurrent, Le Vélo. Sommaire 1 Contexte : développement du sport cycliste et des compétitions à la fin du… …   Wikipédia en Français

  • Tour de France (cyclisme) — Pour les articles homonymes, voir Tour de France. Infobox compétition sportive Tour de France …   Wikipédia en Français

  • Musique électronique — La musique électronique est un type de musique qui a été conçu à partir des années 1950 avec des générateurs de signaux et de sons synthétiques. Avant de pouvoir être utilisée en temps réel, elle a été primitivement enregistrée sur bande… …   Wikipédia en Français

  • AFRIQUE DU SUD (RÉPUBLIQUE D’) — Presque entièrement située au sud du tropique du Capricorne, l’Afrique du Sud constitue un vaste ensemble géographique. La population totale dépassait les 30 millions d’habitants en 1992 et approchait les 35 millions si l’on prenait en compte la… …   Encyclopédie Universelle

  • ARTE — Pour les articles homonymes, voir Arte (homonymie). Création 30 mai 1992 Propriétaire Arte France (50%) Arte Deutschland TV GmbH (50%) …   Wikipédia en Français

  • ARTE+7 — Arte Pour les articles homonymes, voir Arte (homonymie). Création 30 mai 1992 Propriétaire Arte France (50%) Arte Deutschland TV GmbH (50%) …   Wikipédia en Français

Share the article and excerpts

Direct link
Do a right-click on the link above
and select “Copy Link”